Chaque année, des millions de tonnes de déchets agricoles sont brûlés ou laissés à se décomposer, libérant du CO₂ dans l’atmosphère. Malgré un fort potentiel de captation carbone via le biochar, peu de projets accèdent au marché volontaire des crédits carbone. En cause : des processus de certification coûteux, l’absence de traçabilité et le manque de données fiables.